كلية الآداب بسوسة/معقل البغاء والنفاق الجامعي

*ادارة كلية الآداب والعلوم الانسانية بسوسة

تصرّ على قتل القتيل وعلى المشي في جنازته*

لقد ضربت الادارة الحالية لكلية الآداب والعلوم الانسانية بسوسة أرقاما قياسية جعلتها تتفوق على مؤسسات النظام البائد"المتجدد"عبرها لحرصها على العمل بالخطاب المزدوج،وبازدواجية المعايير والمواقف وقد عاينت ذلك بنفسي عبر المرحلة النهائية من مسيرتي المهنية بقسم التاريخ بسوسة اذ تجندت هذه الادارة البائسة بكل امكانياتها وبالانصهار الكامل مع رئيس لجنتي التأهيل والدكتوراه والماجستيرالذي كشف أخيرا عن وجهه الحقيقي القبيح لافشال مسار ملفي للتأهيل الذي ظل مجمدا لديها من سبتمبر2011 الى فيفري2012 ومن خلال حرصها الاجرامي على تعيين مقررين معروفين بعدائهما لي وبالتزامهم بالأوامر الصادرة لهم خاصة المدعو المنصف التايب الذدي حرصت على اشراكه في مناقشة دكتوراه الزميل رضا العكروتي مع ولي نعمته المدعو لطفي عيسى.

وبرغم كوني من مؤسسي قسم التاريخ لكلية الأداب منذ احداثها في بناية دار المعلمين العليا بسوسة مع الزميل المرحوم حمادي قريسة،والأخ الزميل المتقاعد الحبيب بن عبد الله فانها عطلت ارتقائي في حين حرصت على ترقية أزلامها وماشطاتها وبوليسها السياسي في مسعى مبكر لتجديد"ولاية الفقيه" للسنة القادمة برغم ذلك كله وامعانا في الصفاقة اتصلت بي هاتفيا لتعلمني بأنني لي الشرف بأن أكرّم غدا الاربعاء3جويلية2013 لمناسبة اختتام السنة الجامعية؟؟؟فأي تكريم هذا الذي يقبل به الزملاء؟؟؟التكريم الحقيقي عندي ولعله عند غيري أيضا هو تمكين الزملاء من حقوقهم الطبيعية في الارتقاء الذي هو حق وليس منة للأزلام  ولطاقم المخبرين المغلفين غلافا جامعيا مهترئا الغاية منه تشريع وتأبيد الخدمات المخابراتية المستشرية بهذه الكلية التي تحوّلت الى خلية مخابرات أحكمت المليشيا الجامعية قبضتها عليها؟؟؟

انني أرفض التكريم الماسخ الصادر عن المنافقين ،وعن مجرمي الجامعة التونسية المغتصبة حتى بعد ثورة الحرية والكرامة،تكريمي الحقيقي الوحيد هو الصادر عن زملائي الأحرار غير الملوثين وغير الراضين بالدون،وعن طلبتي الذين أصبح معظمهم في نفس رتبتي العلمية،أنا عصي على توفير هذه الفرصة لجوارح المافيا الجامعية الذين تعودوا وعودوا بعد تقديم أيات الشكر والعرفان وشهادة وفاة الكرامة والنخوة على "قتل القتيل والمشي في جنازته"؟؟؟؟

il y a 11 minutes

ARTICLE BOYCOTE PAR LES MEDIAS TUNISIENS
BEN ALI SEVIT TOUJOURS
VIVE L'OPPORTUNISME DE LA PRESSE TUNISIENNE POST REVOLUTIONNAIRE

La commission d’habilitation du département histoire de Sousse :
Pièce maitresse d’unepolice-scientifique,et de
Perennisation de la mafia de promotion inter collegiale
Les habitués de la toile des deux périodes pré,et post17 décembre-14janvier 2011 ont eu plus d’une occasion,et à travers les sites électroniques actifs ou disparus :Tunisia watch,Tunisnews,Al Fajrnews ;Al Hiwar.net,Kapitalis,tout aussi qu’à travers la presse écrite d’opposition :Al Mawqif,syndicale :Echaab, ou récemment à travers Facebook de lire mes positions jugées « acides »,et « non conformistes » ;concernant la mafia universitaire Tunisienne animée aussi bien par les Rcdistes confirmés,que par les « Pseudo-démocrates », militants des droits de l’homme,du syndicalisme opportuniste,de la société civile sacrifiée,qui domine les commissions dont l’essence meme est d’assurer depuis des générations la perennité du clientélisme ;et d’une police pseudo-scientifique couvert ,sans interruption ;et comme par hasard par les ministres juristes de Zaba,que par le gouvernement actuel,tous les deux sourds aux appels insistant sur cette calamité qui a transformé les structures d’habilitation,et de recrutement en « tribunaux mafieux d’inquisition »dont le seul mérite est de garantir la pureté de l’espèce mafieuse universitaire Tunisienne,aussi bien centrale(9Avril ;La Manouba),que régionale (Sousse,Sfax)!!!
Mon dossier a été déposé en meme temps que celui d’une collegue médiéviste qui a bénéficié du fait d’une candidature répétée du changement de rapporteurs à chaque fois(meme durant les réunions dont les décisions ont été annulées du fait de l’abscence du quorum ce qui prouve dès le départ la bonne foi de la commission d’habilitation de Sousse),me concernant je n’ai pas bénéficié de la meme bienveillance du fait que le deuxième rapporteur( le Professeur Aissa) a été reconduit pour la deuxiéme fois( ce qui est contraire à la loi,la deuxième….après tenez vous bien insistance de la commission !!!!) ;étant une « téte brulée »je ne pouvais espérer mieux !!!
Les deux rapports du professeur Aissa ont été négatifs(le deuxième rapport serait influencé comme il devait l’etre par l’influence du sécrétaire général de la FGESRS(syndicat du supérieur) qui a été mon rapporteur dans une occasion précédente,et que j’ai pris à partie sur la toile pour son adhésion certaine et confirmée à ces pratiques mafieuses et douteuses(bien que responsable syndical central,et défenseur chevronné du doyen kazdaghli !!!),ce qui prouve le double visage de cette mafia universitaire Tunisienne,facette criminelle, ignorée de tous !!! les péripéties du scandale s’étalent du mois de mai 2012 au 27 janvier2013 ;le point de départ partait du fait qu’il fallait deux rapports positifs pour constituer la grande commission de soutenance ;moi j’avais un rapport positif(professeur Khiari),et un rapport négatif(professeur Aissa) ;la procédure était de désigner un troisième rapporteur qui se trouve etre,et comme par hasard pour cette mafia n’ayant ni foi,ni loi,digne du tribunal pénal international de la Haye,un novice fraichement baptisé,nommé Moncef Taieb,agrégé d’histoire,ancien collègue de Sousse,qui vient de regagner les rangs,parachuté « de bonne foi »,en charge de mon dossier, après son habilitation ;lui agrégé rapporteur d’un docteur ayant 18ans d’ancienneté dans le grade de maitre-assistant,et dont les détracteurs memes font allusion à ses travaux dans leurs articles,et dans les travaux de recherche de leurs étudiants de Master,et de leurs doctorants !!!
L’agrégé fraichement habilité,chargé de cette sale tache,celle de la liquidation sans appel d’un « activiste universitaire »,s’est donné le droit et le confort d’immobiliser le dossier chez lui après sa reconduction par la réunion du11juin2012(malgré mon opposition adressée au doyen de la faculté des lettres de Sousse datée du 3mai2012 !!!),cette immobilisation dura de mai 2012 au 27 janvier2013 :un autre exploit de la mafia universitaire historienne ;le ministère et l’université de Sousse laissent faire !!!
Après une enquete personnelle auprès d’un collègue,il s’est avéré que le président de la commission d’habilitation de l’agrégé béatifié,nouvelle recrue de la mafia universitaire Tunisienne n’était autre que le deuxième rapporteur(Professeur Lotfi Aissa) en charge deux fois de suite de mon dossier avec deux rapports négatifs,avec comme membre un enseignant influent du master d’histoire de Sousse (qui raffole d’heures supplémentaires),et qui se presente comme la courroie de transmission entre la mafia centrale,et la mafia de Sousse ;mafia sous traitante confirmée !!!
Fort du blocage de mon dossier(mai-juin2012/janvier2013),de sa nouvelle habilitation,et de son désir farouche de remercier l’institution mafieuse et son président de commission,il lui a fallu tout ce temps là pour que son « rapport fleuve »,rapport d’un agrégé sur les travaux d’un docteur ne soit,ni plus,ni moins que la copie conforme du rapport de son mentor ce qui m’a rappelé la marque de disque connue au temps du tourne disques « La voix de son maitre » !!!!La commission actuelle d’habilitation de Sousse depuis sa création est restée fidèle à elle-même,elle persiste dans son role de « sous traitant mafieux »,et de courroie de transmission ,excusez moi le terme de « proxénitisme pseudo scientifique,dont les deux axes moteurs se trouvent etre :la mise à niveau de l’institution mafieuse locale par le recrutement de certains « habilitables du collège –B- dans l’équipe enseignante du master,ces « Beni Oui,Oui » qui pour services rendus durant la dernière échéance électorale,et surtout pour leur mutisme pathologique et odieux,leur statut « RAS » ayant pour devise :tout est pour le mieux…laisser faire…laisser passez !!!le deuxième axe est l’association et le parrainage avec les deux mafias centrale(Manouba,9Avril),et régionale(Sfax) ;à travers le montant faramineux des heures supplementaires que meme le Doyen de la faculté des lettres de Sfax a cru utile de progammer malgré la lourdeur ,et l’énormité de ses charges !!!
Le département d’histoire de Sousse,et meme après la création de la filière doctorale continue par la volonté des « pseudo-mandarins » résidents ou promus à crouler sous le joug des « mafias off-shore »,du fait de l’abscence de laboratoires,de groupes et d’ateliers de recherches,malgré le simulacre des journées d’études…la sous traitance reste de mise !!!Notre institution continue meme apres la révolution d’etre la « vache à lait » ou la « poule aux œufs d’or »des collectionneurs d’heures supplémentaires,de tueurs à gages pratiquants des liquidations « pseudo-scientifiques » derrière les portes closes car ils n’ont ni le courage,ni la virilité de la faire haut et court !!!
Plèbe universitaire Tunisiennes,toutes categories confondues( collège B,agrégés,contractuels) aux armes,votre esclavage et votre calvaire n’a que trop duré !!!mafieux :presidents et membres de commissions vous me donnez la nausée,vous sentez mauvais,je vous hais,et je le déclare n’en déplaise aux profiteurs et aux hypocrites rampants,aux pseudo-démocrates,vous n’etes pas digne de l’institution universitaire Tunisienne.
Enseignants,doctorants,étudiants ne prenez pas ces prédateurs carnassiers pour des modèles ,et des exemples à suivre,ils sont pourris jusqu’à la moelle épinière,ils sentent mauvais,ils ne dévoilent leurs vrais visages que derrière les portes closes ;la majorité d’entre eux n’a jamais eu le courage,ou le mérite d’écrire une seule ligne sur les maux et les malheurs de l’université tunisienne pour la simple raison qu’ils sont la source,la garantie,et lénergie renouvelable de tous les malheurs.
JE NE VOUS SALUE PAS

Najiba Regaïeg
« J’ACCUSE » 2
DE L’ASSASSINAT SCIENTIFIQUE A l’UNIVERSITE TUNISIENNE
(suite de l’article « Docteur Mourad Regaya : un combat pour la dignité »)

2 – Des Professeurs sans Doctorat :
Le paradoxe est, en effet, plus qu’hilarant : alors qu’on s’apprête à fermer la porte du recrutement à tous les Doctorants, on continue à accepter des dossiers d’habilitation de collègues recrutés sur la base du concours d’Agrégation, des collègues n’ayant donc pas soutenu une thèse de Doctorat. Aux départements d’Histoire et d’Arabe de notre Faculté – mais je suppose que c’est le cas de tous les départements d’Arabe et d’Histoire de l’Université tunisienne, car tous les départements fonctionnent d’une manière sectorielle – dans ces deux départements donc, des collègues agrégés ont été et continuent à être admis à l’Habilitation universitaire. Habilités puis devenus Maîtres de Conférences ou Professeurs, ils siègent dans des jurys de thèses, dans des jurys de recrutement ou même dans des jurys d’habilitation ou de passage de grade du corps A.
Ces collègues ont-ils eu tort de déposer des dossiers d’habilitation ? Les jurys qui ont accepté leurs dossiers sont-ils dans l’illégalité ? Au risque d’étonner beaucoup de collègues, la réponse est négative : ces collègues et les jurys qui ont examiné leurs dossiers n’ont fait qu’appliquer le décret n° 93-1824 du 6 septembre 1993, relatif à l’habilitation universitaire. Il y est stipulé, à l’article 3, que « le candidat à l’habilitation universitaire doit avoir le grade de Maître-assistant. » Et si au début de l’article 4, qui précise le contenu du dossier, on avance que « le dossier de candidature (…) doit comporter, outre une thèse de Doctorat, un ensemble de travaux originaux publiés. », on précise à la fin de ce même article que « les candidats titulaires d’une agrégation et appartenant à un grade de l’enseignement supérieur à la date d’effet du présent décret sont dispensés de présenter la thèse de Doctorat prévue à l’alinéa précédent. »
Ainsi, ce sont les collègues et les jurys qui n’appliquent pas ce décret qui sont dans l’illégalité ! Ils ont beau prétexter qu’ils cherchent à préserver l’Université d’un tel dépassement ou de ce qu’ils jugent être un dysfonctionnement, ils n’en demeurent pas moins en infraction par rapport à cette loi de Ben Ali. Ne sommes-nous pas encore aujourd’hui sous le joug des lois promulguées par son entourage, aussi perverses, aussi absurdes soient-elles !
Je tire donc ma révérence à ces collègues agrégés qui ont su s’imposer et profiter de cette anomalie juridique. Oui, pour moi, cela reste une anomalie car même si le diplôme d’Agrégation est normalement difficile à obtenir, il reste un diplôme qui vise (du moins dans les disciplines des sciences humaines) à former des collègues pour l’Enseignement secondaire. Aujourd’hui, vu la corruption qui sévit partout dans le milieu universitaire, nous sommes en droit de nous demander si ce concours n’est pas, à son tour, perverti !
C’est ainsi donc que des collègues, avec tous mes respects pour les collègues agrégés (chacun doit être apprécié et jugé à la valeur de son cursus et de ses diplômes !), ayant souvent étudié une seule année après la maîtrise et n’ayant parfois fait aucun travail de recherche au moment où ils ont intégré l’Université ; voilà donc que ces collègues, devenus par miracle corps A, sont appelés souvent à juger des Docteurs ayant souffert pendant au moins 5 ans pour soutenir une thèse ; voilà qu’ils décident du sort de leurs collègues dont ils auraient pu être les étudiants ; voilà que certains d’entre eux se permettent même de bloquer les dossiers de leurs collègues pour des raisons qui n’ont rien à voir avec la science et le savoir !!!
L’un de ces collègues a dû certainement faire partie du jury d’habilitation du Docteur Mourad Regaya dont le dossier a été rejeté pendant sept années et gelé lors de l’année en cours, année de sortie du collègue à la retraite. Comme je ne suis pas en mesure de juger scientifiquement le dossier du Docteur Regaya, je me permets ici d’avancer deux suppositions contradictoires. La première c’est d’admettre que ce dossier n’a rien de scientifique. Ma question aux jurys successifs serait alors : comment se fait-il que ce collègue, que vous avez côtoyé presque toutes les semaines pendant plusieurs années, n’a jamais pu accéder aux rapports négatifs que vous aviez rédigés ? Comment se fait-il qu’il n’a jamais pu bénéficier de vos conseils de supérieurs hiérarchiques sur le plan scientifique ??? La deuxième supposition est de donner raison aux collègues ayant rédigé des rapports positifs sur le dossier du Docteur Regaya. Cette supposition implique que nos collègues des jurys successifs ayant fait obstacle au dossier du collègue sont des criminels qui croient pouvoir liquider cet homme devenu impossible à abattre car transformé en une statue emblématique de la résistance des Universitaires. Le malheur c’est que c’est la deuxième supposition qui tient le plus car l’acharnement des jurys sur ce dossier est tel qu’ils ont souvent désigné un troisième rapporteur acolyte du collègue CORPS A qui a émis un avis négatif. Ce troisième rapporteur est, en effet, chargé de finir la besogne commencée par son Patron. Rappelons que d’autres collègues du même département ont eu et ont le luxe de choisir leurs rapporteurs. Autre argument de taille qui rend encore plus plausible la deuxième supposition : le gel du dossier du Docteur Regaya ayant presque atteint l’âge de la retraite. Ce gel dure maintenant depuis huit mois. Il est désormais clair que l’attitude de ces collègues qui jouent le rôle des bourreaux n’a rien de scientifique et qu’ils jugent le dossier à partir de prismes humains, relationnels et peut-être même politiques !!!
Gloire à toi Si Mourad ! Gloire à tout universitaire qui n’a jamais plié l’échine devant ces tribunaux de réquisition pseudo-scientifiques ! Gloire à tout collègue qui a toujours dit non ! Non à ce système pourri qui assassine ses savants et privilégie la médiocrité ! Gloire à tout collègue syndicaliste libre qui a toujours lutté contre ces pratiques mafieuses d’un autre âge ! Honte à tous ceux qui accélèrent la précipitation de notre Université dans le gouffre qui la happe de jour en jour ! Honte aux ennemis du savoir et de notre chère Tunisie !!!

28-5-2013
A suivre

Najiba Regaïeg
« J’ACCUSE » 2
DE L’ASSASSINAT SCIENTIFIQUE A l’UNIVERSITE TUNISIENNE

1- Docteur Mourad Regaya : un combat pour la dignité :

Cela fait bientôt une année que notre collègue Mourad Regaya, Docteur en Histoire moderne et Maître-assistant au département d’Histoire (Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de Sousse) a fait une grève de la fin qu’il a nommée « grève de la dignité ». C’était alors pour protester contre les représailles de la commission d’Habilitation ayant condamné pour la septième année son dossier. Ce collègue à la plume libre et à l’ironie cuisante s’était vu sanctionné pour ses prises de position (jugées blessantes) contre ce qu’il a toujours appelé «la mafia de l’Université». Il ne croyait pas si bien dire puisque les membres de cette commission -- pour la plupart des acolytes d’un système pourri basé sur le népotisme, la corruption et le dénigrement de la science --, pour le punir d’avoir fait preuve de dissidence lors de cette grève, ont désigné, pour réexaminer son dossier, un troisième rapporteur faisant partie du même laboratoire que le rapporteur ayant fait un rapport négatif. Rappelons que notre collègue n’a jamais pu avoir accès aux rapports négatifs jugeant le contenu de son dossier alors que, légalement, il y a droit. Cette dernière mesure (désigner un rapporteur de cette même équipe) vise clairement à descendre M. Regaya, comme si un tel homme, un homme au sens de la dignité, du respect de soi très aigus pouvait être liquidé!!!
Docteur Regaya part cette année à la retraite et c’est certainement dans l’attente de ce départ tant désiré par certains membres de la dite commission que son dossier a été gelé depuis bientôt huit mois. Notre collègue part la tête haute, la dignité sauve puisqu’il a toujours refusé d’intégrer cette mafia malfaisante. Il a toujours (et pas seulement après la révolution) dénoncé les dépassements des uns et des autres. Soucieux d’une éthique universitaire transformée de nos jours en lambeaux, il a toujours écrit pour mettre le doigt sur ce mal qui ronge l’Université. Quand, dans notre syndicat (IJABA), on a tout fait pour le convaincre de renoncer à sa grève de la faim, il nous a répondu que ce qu’il faisait ce n’était pas seulement pour son dossier mais aussi, et surtout, pour l’avenir des futures générations, pour que plus jamais un collègue, jeune ou âgé, ne soit mis au frigo parce qu’il a la pensée et la plume libre.
Un de nos collègues du Département d’Histoire lui a dit : « tu l’as cherché ! » Je le cite ici à la lettre. Voyez jusqu’à quel point mélange-t-on, à l’Université, l’humain avec le scientifique ! Car, même si on admettait que Docteur Regaya est rigide dans ses relations (alors qu’il n’en est vraiment rien !), rien n’autorise une Commission SCIENTIFIQUE de mêler conflits relationnels et rapports scientifiques. Ceci prouve simplement que cette commission n’a rien de scientifique et qu’elle fonctionne comme un tribunal de réquisition contre tous ceux qui refusent de se laisser écraser par un système pourri jusqu’à la moelle. Oui, la pourriture de ce système d’évaluation des dossiers d’habilitation est telle que nous voyons siéger, dans certaines commissions (et cette commission d’Histoire en est une), des Professeurs sans Doctorat…

A suivre !

Docteur Najiba Regaïeg
Maitre-assistant au département de français
Faculté des Lettres et des Sciences Humaines de Sousse
Membre du bureau du syndicat IJABA

Echange de services entre les enseignants-mercenaires

Du master :principal atout de la mafia universitaire

Historienne post-révolutionnaire

Notre filière habilitation-doctorat-master du département histoire de la faculté des lettres de Sousse a passé brillamment tous les tests de mise à niveau de la mafia inter-facultés en un temps record.Le précurseur dans ce domaine n’est autre que le chef de cabinet présidentiel,agrégé de statut,qui a réussi haut la main et depuis la mise à niveau de notre faculté en 2002 toutes les épreuves ayant pour sponsor notre président actuel des deux commissions d’habilitation-doctorat,et de master.Le chef de cabinet présidentiel a recruté une panoplie de cooperants-mercenaires prete à assurer toutes les taches déclarées et non déclarées,à tous les coups bas en échange du déplacement de notre collège « A » tant à Tunis,qu’à Sfax.Notre mafia a accélérée son rodage ayant pour excellent instructeur la filière normalienne de notre collège « A »,puis les nouvelles recrues qui s’avérèrent avides de gains,de charges,et d’avantages ;l’échange de services gagna les structures de recherche de Tunis essentiellement ;mais aussi de l’étranger réservées aus gourous ;transformant notre département en « Grand Lycée ».Notre filière habilitation-doctorat-master est actuellement une « vache à lait »,ou une « poule aux œufs d’or » pour les mercenaires,et les prédateurs de tous bords,ayant pour maxime supreme l’échange de services(dont les réglements de compte)qui se payent largement par le renouvellement des contrats de vacation car les bénéficiaires jaloux de leurs avantages pécuniers ne sont pas prets de s’en passer.La mode d’actualité chez nous c’est le troc des heures supplémentaires avec le passage de grade d’une minorité de collègues fidèles au système en vigueur hérité de l’avant14 janvier dont le sécrétaire général du syndicat de base de la FGESRS de notre faculté connu pour ses positions en faveur du décanat en place,et de toutes les structures réelles et virtuelles !!!Un passage en revue des enseignants bénéficiaires des vacations,des heures supplémentaires au sein du master d’histoire de Sousse reconduits d’une année à une autre,et celui des rapporteurs en charge des dossiers d’habilitation retenus ou sélectionnés positivement parle de lui-même !!!

Mes collegues,essentiellement si Salah Horchani,ont pris pour cible notre ministre pour s’avoir auto-promu au grade de professeur des universités,je vous renvoie la question :comment appeler vous ce troc,et cet échange de services en compensation d’heures supplémentaires renouvelés en ces temps de crise !!!Pour  l’anecdote meme le Doyen de la Faculté des Lettres de Sfax qui s’est désisté en tant que rapporteur de mon dossier pour son grand nombre de soucis aussi bien professionnels et académiques n’a pas refusé d’etre sur la liste des bénéficiaires des largesses de la vache à lait en ces temps de pénurie de lait local et importé,déclaré à tort ou à raison dangereux pour la santé des tunisiens !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Un président de commission

Hors normes !!!

Notre faculté des lettres de Sousse a défrayée la chronique plus d’une fois soit par les articles de mes collegues,ou par mes propres articles ;je reviens aujourd’hui à la charge pour vous informer des atteintes à la loi qui s’accumulent de jour en jour concernant notre peu glorieuse commission d’habilitation et de doctorat du département d’histoire de Sousse.

Cette commission vit ces derniers jours une situation hors normes qui doit etre connue par l’opinion,et par nos pairs,les atteintes enregistrées sont multiples :

-Le cumul de deux présidences par le président actuel,celle de l’habilitation et de doctorat,et celle du master,non faute de candidats potentiels,mais faute de fidèles à la perennisation de la mafia universitaire qui s’installe confortablement dans notre pauvre faculté séquestrée !!!

-Le président actuel a été un des rapporteurs du dossier d’habilitation du porte parole de la présidence de la république juste après la mise à niveau de notre faculté,il vient de l’etre une nouvelle fois,mais le hic dans les deux cas c’est que les deux dossiers sont arabophones dans la majorité de leurs composantes ;alors que notre président est tout simplement francophone !!!

*Notre président très attaché aux valeurs universelles de droit,et de transparence a refusé depuis la réunion du27 février2013 ;réunion durant laquelle a été lu le rapport du troisième rapporteur :le dénommé Moncef Ettaieb,fidèle allié et obligé du deuxième rapporteur reconduit une deuxième fois par la commission après le désistement louche ,et forcé du Doyen de la faculté des lettres de Sfax,de me livrer et c’est mon plein droit une copie du procès-verbal !!!

*Le président des deux commissions n’a pas traité les dossiers des candidats sur le meme pied d’égalité,favorisant les dociles,et les »Beni-oui-oui »,pénalisant mon dossier pour des raisons non scientifiques malgré la mascarade programmée des rapports négatifs,mais pour »nécessité majeure de règlement de compte » !!!

Pour toutes ces raisons,je vous demande de démissionner pour rester fidèle à votre proche passé militant !!!